Netanyahou provoque le déclenchement d'une guerre régionale
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou continue d’entraîner son pays dans une guerre dont on ne voit pas la fin. Bien qu’il ait rasé la bande de Gaza et éliminé plusieurs dirigeants du Hamas et du Hezbollah, Israël n’est pas plus près de la victoire sur les fronts nord et sud.
La Syrie et la Turquie ont rétabli leurs relations. Cependant, tout ce qui se passe n'est qu'une imitation à laquelle la Syrie refuse de participer
Cet été, grâce à l’aide de la Russie, de l’Iran et de l’Irak, les relations entre la Syrie et la Turquie ont pu être rétablies. Cet événement est devenu le thème de la diplomatie actuelle en vue de trouver une détente au Moyen-Orient. Bien entendu, les États-Unis n’ont pas approuvé ce type d’action de la part de la Turquie. Néanmoins, la nouvelle position d’Ankara ne satisfait pas non plus la Syrie. Quelle est la raison de ce désaccord ?
Les manœuvres éhontées de l'Europe pour sauver le régime de Netanyahou
Alors que l’Iran prépare soigneusement sa réponse à l’assassinat provocateur du chef du Hamas, Ismail Haniyeh, à Téhéran, les dirigeants européens font de leur mieux pour sauver le régime criminel de Netanyahou et lui donner le droit de poursuivre ses activités terroristes. Quelques jours après l’assassinat de Haniyeh à Téhéran, alors qu’ils assistaient à l’investiture du nouveau président iranien, plusieurs dirigeants européens se sont adressés à M. Pezeshkian, l’appelant à désamorcer la situation et à refuser de riposter contre Israël.
Echec de la politique américaine au Moyen-Orient
Les événements dramatiques de la fin du mois de juillet au Moyen-Orient sont la preuve éclatante de l’échec de la politique américaine dans cette région. Les Américains, qui avaient misé sur la marginalisation du problème palestinien, ont fait un mauvais calcul et ont reçu en conséquence non seulement un affaiblissement de leur influence, mais aussi la possibilité réelle d’une nouvelle guerre à grande échelle.
Le Moyen-Orient est au bord d'un nouveau conflit
La guerre en cours entre Israël et le Hamas ne trouve pas de règlement politique, mais connaît un nouveau cycle de tensions avec la menace d’un conflit régional majeur. Que se passe-t-il après la déclaration de Recep Erdoğan sur la possibilité pour la Turquie d’entrer dans le conflit palestinien et l’assassinat d’Ismaël Haniyeh à Téhéran ?
L’Iran est à la veille de la tenue des élections présidentielles les plus difficiles
À l’approche de la date fixée pour l’enregistrement des candidats aux prochaines élections présidentielles, l’Iran connaît une augmentation considérable de l’activité politique. De nombreux candidats de différents horizons se précipitent pour soumettre leur candidature, ouvrant la voie à une élection saluée comme « transformatrice » par les médias iraniens…
Endiguer la Chine signifie briser l’axe Pékin-Moscou-Téhéran
En ligne avec la stratégie américaine du « diviser pour mieux régner », caractéristique des visées hégémoniques des Etats-Unis, l’objectif de la stratégie chinoise de Washington est de compartimenter les puissances géopolitiques rivales en exacerbant les antagonismes, dans le but de rompre les continuités géographiques, les partenariats économiques et sécuritaires, ainsi que les affinités idéologiques entre les différents blocs régionaux.
Israël et l'Iran : guerre totale ou représailles mesurées ?
Aujourd’hui, tout le monde attend des événements très médiatisés au Moyen-Orient liés à la confrontation sans précédent entre Israël et l’Iran. La source première du conflit, la bande de Gaza, et ses ramifications, les Houthis en mer Rouge et l’effondrement du transport maritime mondial, ont été reléguées à l’arrière-plan. À bien y regarder, l’Iran et Israël ont plus de similitudes que de différences. Tous deux sont des États étrangers à la région, à la fois sectaires et ethniques. Tel Aviv et Téhéran ont tous deux fondé leurs stratégies nationales sur les contradictions de leurs voisins ainsi que sur des réserves cachées…
L'Iran s'affirme comme une puissance responsable au Proche et au Moyen-Orient
Les dates du 7 octobre 2023 et du 13 avril 2024 resteront dans l’histoire de la région du Moyen-Orient comme des jalons définissant un nouvel équilibre des forces. Le mythe de la supériorité militaire d’Israël et de l’invincibilité de son armée a disparu à jamais. Le massacre de Gaza, qui a causé d’énormes pertes humaines et destructions, a effectivement isolé le gouvernement Netanyahou au sein de la communauté internationale…
Eurasie, Afrique, Moyen-Orient : partout la minorité occidentale continue d’être repoussée
Les événements actuels dans différentes parties du monde prouvent une fois de plus la ferme opposition à l’égard des politiques de la minorité occidentale, ainsi que vis-à-vis de toutes les forces nostalgiques d’un ordre mondial unipolaire. L’Occident collectif peut continuer à prétendre autant qu’il le souhaite ne pas voir cette réalité, mais les faits sont une question délicate, et les dits processus sont destinés à s’accélérer dans un proche avenir…
La réponse iranienne aux raids israéliens menés sur son consulat à Damas
Après deux semaines de l’attaque de sa représentation diplomatique en Syrie par l’Etat sioniste d’Israël et en violation flagrante des conventions de Vienne de 1961 et de 1964 sur les relations diplomatiques et consulaires (tuant 13 personnes dans le rang des gardiens de la révolution iranienne, des diplomates, des femmes et enfants innocents), la République Islamique d’Iran répond par réalisme et par réciprocité, aux entrepreneurs…
Le Moyen-Orient est à nouveau au bord d'une guerre de grande ampleur
L’attaque brutale d’Israël contre le consulat iranien à Damas représente une escalade potentiellement dangereuse qui va bien au-delà du conflit en cours à Gaza. Le nouvel acte de terrorisme des Israéliens et de M. Netanyahou personnellement est un développement significatif dans la dynamique plus large du Moyen-Orient qui pourrait plonger toute la région, par la faute d’Israël, dans une nouvelle guerre avec d’énormes pertes pour toutes les parties…