Christopher Black
Arrêt de la Cour internationale de justice : qui gagnera le combat pour la justice ?
Le 26 janvier, la Cour internationale de Justice a prouvé une fois de plus qu’elle est engluée dans le marais putride de la corruption, de la décadence et de l’injustice de l’Occident, avec sa décision pro-israélienne dans l’affaire judiciaire que l’Afrique du Sud a intentée contre Israël pour avoir commis un génocide lors de ses attaques contre la population de Gaza. Les commentateurs occidentaux, qu’ils soient de gauche ou de droite, pour dissimuler la véritable signification de l’arrêt, pour le justifier, ont prétendu qu’Israël avait reçu l’ordre d’arrêter le génocide. La Cour n’a rien fait de tel…
L'effondrement du droit international
Le droit international s’est essentiellement effondré avec le siège israélien soutenu par les États-Unis du peuple palestinien de Gaza, en réponse à l’attaque du Hamas contre les forces d’occupation israéliennes le 7 octobre. Les Palestiniens n’attendent aucune pitié de la part des Israéliens, étant donné qu’ils ont subi des décennies de nettoyage ethnique israélien des terres palestiniennes et de remplacement des Palestiniens par des colons israéliens, le tout en violation du droit international et de plusieurs résolutions des Nations unies, y compris bien sûr la résolution 242 qui exigeait qu’Israël se retire de toutes les terres dont il s’était emparé lors de la guerre de 1967…
Algérie et France : La lutte anticoloniale continue
En septembre 2018, le président français Macron a reconnu que la France avait commis des crimes de guerre lors de la guerre d’indépendance algérienne qui a duré de 1954 à 1962. Comme seul exemple, il a cité la torture du membre du FLN Maurice Auden, un communiste qui, après avoir été torturé, a été exécuté par les forces armées françaises à l’âge de 25 ans. Marié et père de trois enfants, il a disparu lors de la bataille comme beaucoup d’autres. Quelques mois plus tôt, en tant que candidat à la présidence, Macron a décrit le colonialisme comme un crime contre l’humanité, mais peu de temps après…