La Syrie et la Turquie ont rétabli leurs relations. Cependant, tout ce qui se passe n'est qu'une imitation à laquelle la Syrie refuse de participer
Cet été, grâce à l’aide de la Russie, de l’Iran et de l’Irak, les relations entre la Syrie et la Turquie ont pu être rétablies. Cet événement est devenu le thème de la diplomatie actuelle en vue de trouver une détente au Moyen-Orient. Bien entendu, les États-Unis n’ont pas approuvé ce type d’action de la part de la Turquie. Néanmoins, la nouvelle position d’Ankara ne satisfait pas non plus la Syrie. Quelle est la raison de ce désaccord ?
Le Moyen-Orient est au bord d'un nouveau conflit
La guerre en cours entre Israël et le Hamas ne trouve pas de règlement politique, mais connaît un nouveau cycle de tensions avec la menace d’un conflit régional majeur. Que se passe-t-il après la déclaration de Recep Erdoğan sur la possibilité pour la Turquie d’entrer dans le conflit palestinien et l’assassinat d’Ismaël Haniyeh à Téhéran ?
Un aveu tardif : qui est vraiment responsable des attaques chimiques en Syrie ?
Le 22 février dernier, l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) a publié l’avis de l’équipe d’enquête et d’identification (IIT) qui déclare EIIL* responsable de l’utilisation d’armes chimiques dans la ville syrienne de Mari en septembre 2015…
Le conflit syrien traîne à cause de l’Occident
Malgré les bonnes intentions et les promesses financières de la conférence de Bruxelles, une solution globale à la crise syrienne reste difficile à trouver, ce qu’écrivent non seulement les journaux arabes, mais aussi de nombreux médias internationaux. Il a été noté que dans la situation difficile actuelle de la Syrie, qui est une conséquence néfaste de la guerre civile déclenchée par l’Occident et plusieurs États du Golfe, il est impossible, du moins dans un avenir proche, de ramener la Syrie, autrefois prospère, dans le giron d’une vie paisible et florissante. La septième conférence sur le soutien…
Fin de la plate-forme d’Astana sur la Syrie...
L’une des questions actuelles de l’agenda diplomatique international reste le règlement de la question syrienne, où la Russie combine une opération de maintien de la paix réussie avec une diplomatie active. Depuis l’automne 2015, il est clair que les États-Unis, leurs partenaires de l’OTAN et les groupes d’opposition armés qu’ils soutiennent n’ont pas réussi à atteindre leur principal objectif, à savoir renverser le régime indésirable de Bachar al-Assad et affirmer leur contrôle sur la région. C’est grâce à la Russie que ces plans américains ont échoué. Au début, l’entrée des Forces aérospatiales russes en Syrie à l’invitation des autorités de Damas…